On se les caille
Que je regrette l'épaisse couche de pollution parisienne qui tenait chaud à la tour Effeil et aux habitants.
Ici on se les caille sévère.
Je vous expose un problème : Ma super doudoune trop moche genre sosie du bonhomme Michelin est restée à Paris. Je n'ai qu'un super gros pull ici, le reste (c'est-à-dire : un seul autre gros pull) gît paisiblement dans mon armoire parisienne...
Vous allez me dire, "bin ramène-les le week end prochain!"
C'est là que je vous parle de mon second problème : Je ne rentre pas à Paris la semaine prochaine. Mais je reste bel et bien dans ma province glaciale pour 15 jours. Stupeur et tremblements (de froid).
Mais je vous vois venir! Je sais que certains me diront "va chez H&M cocotte, y'a des gros pulls pas chers".
Et là, j'ai bien évidemment un troisième problème : Nous sommes quasiment le 15, ce qui équivaut pour moi à la deuxième partie du mois, ce qui équivaut pour moi à la fin du mois, ce qui veut dire que j'ai plus une thune et que je dois m'acheter une imprimante... et manger.
En attendant vos dons, je m'en vais mettre mon chapeau, mon écharpe, et mes gants pour affronter le froid polaire qui règne sur le chemin de L'université.
Je compte sur vos pensées chaleureuses à mon égard.
Glacialement vôtre, Lili.